Séjours



17 et 18 mai 2025 – Symphonie des crêtes – La Givrine – 170 CHF

Niveau technique
Niveau physique


Dans les forêts de plaine, le concert de nos amis à plumes perd peu à peu de son intensité. Sur les crêtes jurassiennes au contraire, il atteint son apogée après un départ plus tardif. A l’aube et au crépuscule, toute la montagne résonne des ardeurs reproductives et territoriales de la gent ailée et, pendant la journée, les parents effectuent d’innombrables allers et retours pour le nourrissage de leurs oisillons.
Toute cette activité les rend plus audibles et plus visibles à nos sens humains quelques peu émoussés. Au cours de deux jours de randonnée à un rythme contemplatif, nous aurons de multiples occasions d’affiner nos yeux et nos oreilles, de mieux faire connaissance avec les habitants des lieux et de nous immerger dans l’explosion printanière du Jura.

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(date limite 9 mai)



14 et 15 juin 2025 – Jura à croquer – La Givrine – 170 CHF

Niveau technique
Niveau physique


Alors qu’en plaine, l’été est déjà bien installé et que nos plantes favorites sont devenues un brin coriaces, les flancs du Jura gardent comme un petit goût de printemps et nous réservent encore de belles surprises gustatives dans les pâturages constellés de fleurs ou au pied des épicéas centenaires.

Pour profiter de cette générosité, nous parcourrons une boucle d’environ 5 km pour nous imprégner des couleurs, des ambiances et pour faire connaissance avec quelques plantes locales dont le goût et les propriétés valent le détour. Chemin faisant, nous nous arrêterons dans un petit refuge pour cuisiner notre récolte avant de reprendre la direction de nos pénates.

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(date limite 6 juin)



28 et 29 juin 2025 – Pays d’Enhaut sauvage – Château d’Oex – 190 CHF

Niveau physique
Niveau technique



Connu principalement pour son fromage de l’Etivaz et son week-end des ballons, le Pays d’Enhaut représente encore une oasis de quiétude et de nature bienvenue dans un pays qui se remplit de toutes parts. Ainsi suffit-il de s’éloigner un peu des principales routes et localités pour profiter d’une nature riche et préservée, s’immerger au coeurs de vallons encore confidentiels ou jouer les funambules sur le fil de crêtes libres de toute présence humaine.
Quoi de mieux pour profiter du début de l’été qu’un week-end entouré de tout le petit peuple des cimes, chamois, bouquetins, marmottes et, avec un peu de chance, leurs majestés l’aigle royal ou le gypaète barbu ?

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(date limite 20 juin)



27 et 28 septembre 2025 – Jura: une nuit avec les cerfs – La Givrine – 170 CHF

Niveau technique
Niveau physique






Même en des lieux passablement fréquentés, Dame Nature sait se montrer généreuse et ne se lasse pas de nous surprendre. Qui pourrait penser que le sauvage des origines s’exprime dans toute sa profondeur dans une région aussi courue que la Givrine ?

Il suffit pourtant de choisir des chemins un peu en retrait et des horaires légèrement décalés pour y retrouver des ambiances authentiques et préservées, pour renouer avec les émotions primordiales que le brame d’un gros cerf ne manque pas de réveiller au plus profond de nos entrailles. Et quoi de mieux pour en profiter pleinement que de passer la nuit à deux pas du ciel, dans une cabane reculée, accompagnés tout au long de notre sommeil par des raires caverneux ?

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(date limite 19 septembre)




4 et 5 octobre 2025 – Brame en Valais : la combe aux cerfs – Le Châble – 190 CHF

Niveau physique
Niveau technique


Si le Jura nous offre une proximité quasi intime avec les cerfs en rut, les recoins de ses combes et la profondeur de ses bois ne nous permettent que très rarement de les observer. Il n’en va pas de même dans les réserves de chasse des Alpes où leurs majestés se savent inatteignables tout en haut des pentes escarpées. En ces lieux, il n’est pas rare de les voir paresser au soleil, entourés de toute leur cour de biches et de faons, poussant de temps en temps un bref raire paresseux.

Que le soleil baisse cependant, que le froid tombe des cieux, et voici que toute l’ardeur qui bout dans leurs veines reprend le dessus. C’est alors d’un concert surréaliste que toute la combe résonne au moment où s’allument les étoiles. Perdant toute prudence, les maîtres des lieux descendent parmi les vernes et c’est parfois à quelques dizaines de mètres qu’ils s’offrent à nos yeux ébahis. Même au coeur de la nuit, les raires s’insinuent par les fenêtres entrouvertes et peuplent nos songes, nous rappelant que le spectacle durera encore jusqu’au bout de l’aube, quand le soleil reprendra ses droits.

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(date limite 26 septembre)